• " Votre vérité" n'est pas forcément "la réalité" Extrait de " La guerre des nerfs"

     Extrait de " La guerre des nerfs" parution en 2013 - Copyright 2012

    " VOTRE VERITE" n'est pas forcément "LA REALITE" ! 

    Il existe un nombre impressionnant d'internautes qui confondent leur opinion  personnelle avec la réalité. Ce que vous pensez être une réalité est "votre vérité" et non forcément LA REALITE.

     Ainsi, vous avez une hypothèse, appelée présomption dans le secteur juridique, sur une personne ou le fait qu'elle a commis quelque chose; vous n'avez pas de preuves même si vous lisez l'article d'un journaliste ou chroniqueur dans un journal en vogue: Il existe des rédacteurs (trices) qui se font condamner tous les jours par les tribunaux pour avoir écrit des textes , sans preuves, se basant sur leur vérité ou hypothèses perso. D'autres brodent autour d'une réalité en ajoutant leurs idés perso comme étant des preuves. Un journaliste de "la Meuse" -Verviers- m'a sorti: Je suis journaliste indépendant, j'écris ce que je veux et je ne vous aime pas " ... Non... il n'écrit pas ce qu'il veut. Si j'ai laissé son article calomnieux et diffamatoire pendant de nombreux mois, c'est parce que je ne l'avait pas vu... bien qu'il soit relaté par les justiciers du web, je ne suis pas scotchée sur les "potins" tous les jours !

    Vous voyez ou lisez des infos, mais sont elles vraies? pouvez-vous jurer avoir raison , et si vous vous trompiez ? Avez vous pensé aux conséquences pour la personne ainsi jugée ?  Vous vous trompez et vous effectuer une diffamation. Vous relatez un fait réel et vous ajoutez le nom réel de la personne ? Vous calomniez...

     il est imprudent d'avancer un nom, qu'il soit d'une personne physique ou d'une société avec une accusation , telle vous l'avez lue ou entendue quelque part. Ceci ne constitue pas une preuve concrète et vous risquez de vous retrouver en justice, devant un tribunal correctionnel pour calomnies et diffamation.

    La protection d'un tiers: ne vous croyez pas à l'abri de poursuites même si vous agissez pour le compte d'un tiers vous assurant protection ou immunité. Vous , citoyens, n'avez pas l'immunité, votre protecteur s'en tirera s'en doute mais pas vous.  Le tribunal et même un service d'enquêtes peut prouver que "votre réalité" soit votre conviction absolue n'est pas la réalité exacte parce que vous n'êtes ni enquêteur, ni êtes la "science infuse" pour devinez un contexte ou des éléments objectifs (sans hypothèse de votre part) pour concrétiser le fait réel ( documents d'experts, vidéos, enregistrements)

    De plus, en affirmant votre opinion, en croyant que celle-ci est vraie et même si vous n'avez pas l'intention de nuire, vous risquez de blesser l'honneur d'autrui ou lui porter un grave préjudice dans sa vie privée ou professionnelle. ceci est un fait grave, condamnable, même après un délai de prescription s'il est prouvé que le fait, toujours mis en évidence, porte tteinte à la dignité d'autrui. 

    Attention, si vous faites usage d'un pseudo sans copyright , on ne peut rien vous dire. Si par contre, vous utilisez mon pseudo "Mary-R." protégé par un copyright, c'est condamnable; 

     Un autre exemple: vous dites Mr un tel (son vrai nom)soit une  REALITE est  un névrosé;  c'est VOTRE VERITE et non LA REALITE: Vous n'êtes pas psychiatre et encore vous le seriez, il est interdit de faire un diagnostic sans avoir vu la personne ni avoir effectué les analyses requises; VOTRE VERITE est donc une diffamation (chose fausse) ou une calomnie (chose vraie)  dans les 2 cas , vous êtes condamnable;  Si vous remplacez mr un tel (vrai nom) par un pseudonyme vous ne risquez rien sauf si vous saviez pertinement bien le copyright avant les faits. 

     Ex " Mary -R. " est mon pseudo et je suis sous copyright depuis 2005, tous mes blogs et sites l'attestent. 

    En France, on apprend ceci dans toutes les facultés, même ceux qui ne font pas médecine; en Belgique, même la fac de psychologie n'en parle pas... Cela existe uniquement à la fac de droit et encore, ce n'est pas bien expliqué. donc, svp, faites attention à vos écrits et accusations.